Plusieurs événements peuvent traumatiser un enfant. Parmi eux, le cambriolage est une étape particulièrement pénible à vivre. Un enfant peut être traumatisé par un cambriolage. Leurs réactions face à un tel événement sont spécifiques à l’enfant et différentes d’un adulte. Dans ce post, nous allons voir les moyens qu’il est possible de mettre en oeuvre pour faire face à certains comportements régressifs, consécutifs d’un cambriolage.
Après un événement violent, tel qu’un cambriolage, l’enfant peut « régresser » vers d’anciennes habitudes. Ainsi, en fonction de l’âge, sucer le pouce, coller les adultes, le recours systématique au doudou, pleurer au départ de la maison, l’incontinence nocturne, le balancement machinal, peuvent être des conduites régressives. Certains apprentissages peuvent être ralentis, des capacités récemment acquises (telles que le langage, l’équilibre, la marche, l’autonomie) peuvent être entravées. En fait, ce ralentissement psycho-moteur est un moyen que l’enfant va adopter pour se réconforter. C’est de cette manière que l’enfant va gérer ses angoisses.